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Quesada : « Le score est trop dur »

Par midi olympique
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    Quesada : « Le score est trop dur »
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L’entraîneur parisien ne pouvait que constater les dégâts après la défaite à Pau. Il déplore aussi les nombreux absents.

Mauvaise soirée pour Paris qui repart sans rien du Béarn…

C’est dur d’être frustré ou en colère car on n’a rien montré offensivement. Il y a eu un bel état d’esprit et une belle défense. Même si on a dû composé une équipe avec très peu d’automatismes, on a essayé de garder une identité de jeu. On prend deux essais sur du jeu au pied où on contrôle mal le ballon, c’est dommage. Les deux défenses étaient en place. On aurait dû alterner notre jeu au pied. C’est ce qui a fait la différence contre Pau. Ils ont été meilleurs que nous. Mais le score est trop dur.

Vos cadres vous ont manqué (Genia, Plisson, Steyn) pour mettre la main sur cette partie ?

Je prends l’exemple de Meyer Bosman qui fait son match. C’est un centre à la base, qui peut dépanner en dix. Par moments il aurait du plus alterner le jeu. Mais cette expérience ne s’acquiert pas du jour au lendemain. Forcément avec des joueurs en plus, il y aurait eu de la fraîcheur. On a amené les vingt-quatre joueurs qu’on avait de disponible. Il y a des manques qui sont difficiles à combler. Mais ce ne sont pas des excuses. Imaginez qu’Allister Coetzee appelle Meyer Bosman pour jouer avec les Boks là maintenant ?

Pourtant vous dominez la première mi-temps sans mettre d’essai…

Oui, on domine car on a la possession. On avance, on a les surnombres mais on n’arrive pas à finir. Et on se fait punir. A un moment donné il y a de la psychologie dans un match, on était dans un confort, on ne s’est pas méfier.

Deux matchs à l’extérieur sans prendre de points, ça ressemble à la saison dernière…

La saison dernière, on voyageait mal et on recevait mal. C’était compliqué. Cette année on travaille beaucoup mieux. Le contenu est meilleur. On doit corriger des choses, dans la conquête, dans l’alternance. Mais c’est en train de se mettre en place. On a gardé le même groupe, il y a une cohésion qui se crée. Mais avec les absents, tous les week-ends on joue avec les mêmes garçons, et il reste vingt et un matchs dans la saison. Si on prend zéro points à chaque déplacement, on va se mettre sous pression à domicile. Tout le monde peut gagner partout dans ce Top 14, il est très relevé.

Vous êtes hors-jeu !

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